FDA / CDC, un monde parfait où le HIV, le Cancer, le COVID pourraient vivre ensemble

Cette année (NdT: 1998), 550 000 Américains vont mourir du cancer.

Un sur trois d’entre-nous va developer la maladie au cours de sa vie.

Ceci représente 88 millions de personnes rien qu’aux Etats-Unis.

G. Edward Griffin

Le but de cette étude est de démontrer que nous pouvons arrêter cette grande tragédie humaine sur la base de la connaissance scientifique déjà à notre disposition.

Nous explorerons la théorie qui veut que, comme le scorbut, le cancer soit une maladie de déficience, aggravée par le manque d’un composant essentiel de l’alimentation de l’Homme moderne et que son contrôle ultime réside dans sa restauration au sein de notre diététique.

Ce que vous allez lire par la suite n’est pas approuvé par la médecine allopathique.

L’administration pour l’alimentation et les produits pharmaceutiques (NdT: labellée FDA aux Etats-Unis pour Food & Drugs Administration, acronyme que nous utiliserons pour la suite de cet exposé), la Société Américaine contre le Cancer (NdT: American Cancer Society ou ACS) et l’American Medical Association (NdT: AMA qui est l’pquivalent outre-Atlantique de notre ³ordre des médecins´) ont même qualifié ceci de charlatanisme.

En fait, la FDA, l’ACS et l’AMA ont utilisé tous les moyens à leur disposition pour éviter que ce que vous allez lire le soit.

Ces entités gouvernementales ont confisqué des films et des livres.

Ils ont meme traîné devant les tribunaux des médecins qui appliquaient ces théories dans le seul but de sauver la vie de leurs patients[«][«]

Au début de l’année 1974, le conseil des médecins de la Californie a déposé une plainte officielle contre le Dr. Stewart M. Jones, pour avoir utilisé la substance laetrile avec ses patients atteints de cancer.

On apprit plus tard que le Dr. Julius Levine, membre du conseil des médecins ayant déposé plainte, avait lui-même utilisé le laetrile pour traiter son propre cancer.

Quand le cas du Dr. Jones vint à être examiné par le conseil, les pressions politiques furent si intenses que le Dr. Levine se sentit obligé de démissionner de son poste plutôt que de soutenir ouvertement le Dr. Jones et ses patients.

Ceci se passe dans un pays qui se targue d’être le phare de la liberté et dont le symbole est la statue de la liberté.

Les citoyens de ce pays sont obligés de devenir des émigrants pour raisons médicales afin de conserver leur liberté de choix et leur souveraineté au sujet de leur propre corps.

Le laétrile est disponible dans des pays comme l’Australie, le Brésil, la Belgique, Le Costa Rica, l’Angleterre, l’Allemagne, la Grèce, l’Inde, Israël, l’Italie, le Japon, le Liban, le Mexique, le Pérou, les Philippines, l’Espagne, la Suisse, la Russie (et l’URSS auparavant), le Vénézuéla, le Vietnam« mais il n’est pas autorisé dans le ³pays des hommes
libres´.

Malgré tout cela, un bon nombre de médecins ont défié la bureaucratie et ont prouvé dans leur proper Clinique, que le concept de déficience vitaminique comme cause du cancer est valide.

Avec des milliards de dollars dépensés chaque année dans la recherche contre le cancer et ajoutant les autres milliards engrangés par le biais des médecines liées aux traitements du cancer, ainsi que les politiciens toujours plus avides de votes, promettant toujours plus de fonds publics pour les programmes de financement, nous nous apercevons qu’aujourd’hui, il y a bien plus de gens qui vivent sur le dos du cancer que ceux qui en meurent.

Si la problématique venait à être résolue par une simple vitamine, cette gigantesque industrie commerciale et politique deviendrait obsolète dès demain matin.

Ce que nous pouvons dire est que la science de la thérapie contre le cancer n’est pas aussi complexe que sa politique.

Si les scandales du Watergate au début des années 70 servirent à quelque chose, ce fut à ceci: le réveil du public au fait que parfois les officiels du gouvernement ne disent pas la vérité et que lorsqu’ils sont pris la main dans le sac, ils clâment invariablement qu’ils ont agit de la sorte afin de protéger qui la sécurité nationale, qui la santé publique ou quelqu’autre noble but.

Ce syndrome du Watergate n’est pas nouveau. Il y a plusieurs années, un agent de la FDA témoigna devant une cour de justice contre un homme d’affaire de Kansas City.

L’agent admit lors d’un interrogatoire contradictoire qu’il avait menti 28 fois sous serment.

Quand il lui fut demandé s’il regrettait d’avoir agi de la sorte, il répondit: ³Non, je n’ai aucun regret.

Je n’hésiterai pas à mentir si cela peut aider le consommateur américain.´

En fait, la FDA n’a que faire du ³consommateur américain´ en cela que lorsqu’un homme d’affaire tombe en disgrâce avec l’administration, rien ne lui est épargné, et la loi est utilisée non pas comme une raison d’attaque, mais comme une arme d’attaque.

En d’autres termes, la FDA ne prend pas action parce que la loi lui dicte de le faire.

Elle le fait parce qu’elle pense qu’elle se doit de le faire et cherche ensuite au travers des lois et regulations une justification pour l’avoir fait. (NdT: suit ici un exposé de l’affaire de l’ptat américain contre Dextra Fortified Sugar) [«][«]

De manière générale, il y a toujours plus qu’un certain zèle venant des bureaucrates.

Prétendre protéger le public fait toujours partie des agendas cachés.

Les legislations écrites pour soi-disant protéger le consommateur sont généralement écrites par ces industries contre lesquelles ces memes consommateurs sont supposés être protégés.

Les politiciens qui sont reconnaissants du soutien financier que ces industries leur apportent, sont avides de signer les lois et de pousser pour leur application.

Une fois votée et établie en loi, la legislation ne sert plus qu¶j protéger de la concurrence les industries qui les sponsorisent.

Le consommateur devient la victime et non pas le bénéficiaire.

Ceci est tout aussi vrai dans le domaine de la médecine que dans tout autre domaine.

Quoi qu’il en soit, en médecine, il y a toujours la nécessité de prétendre et de faire valoir que tout est fait ³scientifiquement´.

Ainsi, en plus de l’aide recrutée des politiciens, les scientifiques doivent aussi être achetés., une chose de plus en plus facile à faire grâce à l’allocation des fonds de recherche.

Cette réalité fut révélée en 1966 par l’ancien patron de la FDA James L. Goddard, qui dans un discours devant l’association des laboratoires pharmaceutiques déclara:


³J’ai été choqué par ce que j’ai vu. En plus du problème de la qualité il y a celui de la malhonnêteté dans les evaluations des nouveaux medicaments. Je veux bien admettre qu’il y a une zone d’ombre dans l’évalutaion des medicaments, mais la non divulgation de donnéees cliniques animales non favorables n’est pas une question de zone d’ombre .
Le choix délibéré de favoriser des enquêtes cliniques en étant plus concerné par les amities au sein de l’industrie que par le développement de bonnes données d’évaluation n’est pas une zone d’ombre.

Son successeur à la FDA le Dr. Herbert Ley, témoigna devant un comité médical du congrès en 1969 où il déclara:

³Les patients qui sont décédés durant les tests cliniques n’ont pas été rapportés au sponsor« Des personnes décédées furent listées comme sujets d’expérimentation; certaines personnes listées sur la liste des tests n’éptaient pas présentes dans l’hôpital au moment des tests, des formulaires de consentement ont été prouvés avoir été signés après la date du décès des patients.´ [«] [«] Les rapports défavorables sont rarement publiés, de plus les testeurs sont mis sous pression pour ne rien dire. Les avantages pour les testeurs cliniques à fabriquer les données sont énormes. Les laboratoires pharmaceutiques américains paient jusqu’à 1000 US$ par patient, ce qui permet certains médecins de collecter plus d’un million de dollars par an sur le dos de la recherche pharmaceutique, le tout de manière plus facile si les traitements sont en fait imaginaires. Même si les résultats de tests ne sont pas fabriqués, il y a toujours l’effet du parti-pris inconscient. Ces médecins savent très bien que s’ils ne produisent pas les résultats escomptés par les laboratories pharmaceutiques qui les emploient, leurs chances de continuer à recevoir cette manne s’amenuisera au fil du temps. Que des laboratoires de tests soient corrompus par l’argent de l’industrie n’est pas difficile à imaginer, mais on assume souvent que les laboratories universitaires sont différents, plus fiables, qu’ils sont immunisés contre les profits qui dégoulinent de la science criminelle. La vérité de fait est que l’argent parle aussi fort sur les campus universitaires que partout ailleurs. [«][«] Amenons maintenant ce débat sur le sujet du cancer. La science peut-être utilisée pour pousser sur le marché des medicaments qui ne marchent pas, mais aussi pour laisser de côté ceux qui marchent, parce que ces remèdes représentent une concurrence potentielle pour l’industrie pharmaceutique, qui contrôle le système de validation des medicaments pour le marché. [«][«]

Note des traducteurs: suit ici l’explication d’une affaire judiciaire entre la FDA et le Dr. Andrew Ivy au début des années 1960.

La tactique la plus malhonnête utilisée contre le laetrile, fut l’établissement d’un rapport pseudo-scientifique par la commission en cancérologie de l’ordre des médecins de Californie en 1953.

Publié dans le numéro d’Avril 1953 de la revue California Medicine, le rapport présentait une collection impressionnante de tableaux, de données techniques indiquant qu’une recherche exhaustive avait été conduite sur tous les aspects possibles du laetrile.

Sa composition moléculaire a été analysée, son action chimique étudiée, ses effets sur des rats de laboratoires cancérisés observés et son efficacité sur des patients cancéreux humains déterminée.

La conclusion de toute cette etude soit disant objective était sans appel: ³Il n’y a pas de preuve évidente qui indique l’effet cytotoxiquedu laetrile sur les cellules cancéreuses.´ [«] [«] Il est néanmoins important de connaître quelque chose de la nature de ce rapport californien et de l’intégrité scientifique de ceux qui l’ont rédigés.

Bien que ce rapport publié dans la revue California Medicine ne fut pas signé, il fut rédigé par les médecins Dr. Ian MacDonald, president de la commission et du Dr. Henry Garland, son secrétaire.

Le Dr. MacDonald était un cancérologue, chirurgien connu et le Dr Garland était un radiologue de renommée internationale. Il y avait sept autres médecins connus dans le comité, incluant quatre chirurgiens supplementaires, un autre radiologue et un pathologiste, mais ceux-ci ne prirent aucune part signifiante à la rédaction de ce rapport.

Aucun de ces hommes, y compris MacDonald et Garland, n’a utilisé le laetrile en experience de première main.

Tout ce qu’ils ont fait ne fut que l’épvaluation et le résumé d’écrits d’autres personnes.

Avant que d’examiner ces évaluations et résumés, rappelons d’abord que MacDonald et Garland étaient les deux médecins qui firent la une des journaux nationaux en expliquant qu’il n’y avait absolument aucune relation entre fumer des cigarettes et le cancer.

Dans une adresse devant le comité de santé publique du Club du Commonwealth à San Francisco le 9 Juillet 1964, le Dr Garland a déclaré: ³Une hypothèse courante et reconnue de manière élargie serait que fumer des cigarettes causerait un grand nombre de maladies différentes allant du cancer à l’artériosclérose.

Après avoir étudié la question pendant plusieurs années, notemment dans sa relation rapportée avec le cancer des bronches, mon opinion bien considérée est la suivante: cette hypothèse n’est pas prouvée« Les cigarettes consommées de manière moderée sont considérées par beaucoup comme un tranquilisant.

Il est plus que probable que l’obésité soit un plus grand danger pour la santé des Américains que les cigarettes.

Le Dr. MacDonald lui, fut même plus emphatique.

Dans un article qu’il écrivit pour le US News and World Report, il était photographié avec une cigarette dans la main et déclarait: ³fumer est un passe-temps anodin jusqu¶j 24 cigarettes par jour.´

Ce à quoi il ajouta: ³Nous pourrions modifier un vieux slogan en disant: Un paquet par jour, pas de cancer du poumon pour toujours.´

(NdT: difficle de traduire la phrase de MacDonald puisque le slogan rhyme en anglais. Le ³slogan´ est comme suit: ³A pack a day keeps lung cancer away´«).

Il est curieux de noter qu’au moment où ceci se passait, les fabricants de cigarettes enregistraient une baisse dans leurs ventes à cause justement d’une augmentation de la suspicion du public concernant le rapport entre fumer et le cancer.

En fait, l’industrie du tabac avait déjà promis 10 millions de dollars sur les 18 millions considérés à l’AMA pour effectuer des ³recherches´ sur la question du rapport entre fumer et la santé.

L’effet de cette véritable manne d’argent pour l’AMA, provenant d’une source qui disons le avait un intérêt conflictuel avec les résultats potentiels des recherches fut incroyable et ne donne pas vraiment confiance en l’intégrité de l’AMA.

Le résultat fut la conversion d’un projet de recherche simple et direct en un amas confus garni d’un indiscutalbe gâchis d’argent. [«][«]

Il convient de noter de manière intéressante que le Dr MacDonald mourut brûlé vif dans son lit après que sa cigarette ait déclenché un incendie, quant au Dr Garland qui se vantait d’étre un fumeur à la chaîne depuis son enfance et qui clamait haut et fort qu’il était la preuve vivante que les cigarettes étaient sans danger, mourut d’un cancer des poumons.

En 1963, dix ans après la publication du rapport original, le ministère de la santé de Californie décréta que les conclusions de cette étude vieillissante étaient ³justes´ et il les adopta comme siennes.

Lorsqu’il le fit, cela rendit un fier service au public sans le vouloir, parce que le ministère de la santé publia pour la première fois toutes les experiences originales de la recherche sur lesquelles le rapport était fondé et ce faisant, il fut rendu public de manière documentée que les Dr MacDonald et Garland avaient falsifié leur résumé et leur évaluation de ces experiences.

Dans le rapport de 1953, les auteurs publiaient les conclusions du Dr John W.Mehl, disant que le cyanure ne pouvait pas être diffusé du Laétrile.

Comme nous l’expliquerons dans un chapitre ultérieur, la diffusion de cyanure dans la cellule cancéreuse fait partie de la raison du pourquoi le Laétrile marche.

De cette façon, dire que le cyanure ne pouvait pas être diffusé depuis le Laétrile devenait un sérieux coup à la crédibilité de la substance et de la théorie sur le Laétrile.

Le Dr Mehl déclara: ³Ces résultats ne sont pas probant et seront revérifiés, mais cela ne soutient pas le cas du Laétrile.´

Quoiqu’il en soit, avec la publication dix ans plus tard de toutes les experiences realisés dans l’étude, une histoire toute différente commença à émerger.

Enfouie dans un dédale de tableaux, de statistiques et de graphiques, on peut y trouver une information intitulée ³Rapport sur le Laétrile, Appendix 4´.

C’est un rapport de laboratoire signé par G. Schroetenhoer et W. Wolman.

Ce rapport stipule:³

Après un reflux de trois heures, l’odeur du cyanide d »hydrogène pouvait être
détectée« Celui-ci fut distillé dans de l’hydroxide de sodium et sa présence fut determinée par la technique du test au bleu de Prusse.´

Ce rapport était daté du 14 Janvier 1953, soient deux mois avant que le Dr. Mehl ne declare que le cyanide ne pouvait pas être diffusé par le Laétrile.

Il est tout à fait evident que MacDonald et Garland ont donné la preference au rapport négatif tout en ignorant le rapport positif.

Depuis lors, la diffusion de cyanide (cyanure) du Laétrile a été confirmée par le laboratoire de chimie de l’AMA, par le département de cytochimie de l’Institut National du Cancer et même par le ministère de la santé californien ; ce même ministère qui déclara ³vraies´ les conclusions du rapport de 1953.

Une autre affirmation de Dr MacDonald et Garland fut que des examens microscopiques de tumeurs de patients ne montraient absolument aucune indication chimique favorable.

Dix ans plus tard, ceci fut prouvé être un mensonge éhonté.

L’appendix 3 du rapport contient les conclusions de deux pathologistes, qui stipulèrent noir sur blanc, qu’ils avaient constaté des effets anti-tumeur chez les patients traités, qui seraient plus que vraisemblablement causés par le Laétrile.

Dans une declaration écrite du 15 Décembre 1952, par exemple, le médecin John W. Budd rapportait: ³case 1M

« la nécrose hémorragique de la tumeur est importante« Une interprétation d’un effet chimiothérapeutique peut-être supposp«´ [«][«]

Quoi qu’il en soit, meme si les conclusions de ces chercheurs n’avaient pas été falsifiées dans le résumé fait par MacDonald et Garland, le rapport californien de 1953 aurait été complètement inutile quant à établir un verdict négatif définitif sur la question, car la force des doses utilisées sur les patients atteints de cancer étaient bien trop faibles pour prouver quoi que ce soit.

En fait les doses utilisées ne représentaient qu’un cinquantième que ce qui était generalement utilisé pour obtenir des résultats optimum.

Dans les premiers temps de l’utilisation du Laétrile, les médecins n’administraient que 50 ou 100 mg à chaque fois.

Gagnant confiance avec l’expérience, le dosage fut peu à peu augmenté jusqu’en 1974, le laetrile était injecté aux patients de manière intra-veineuse à des dosages allant de 6 à 9000 mg (6 à 9g) par jour.

De manière générale, cela prend environ une accumulation de 50 à 70 000 mg (50 à 70g) sur une période d’une semaine à 10 jours, avant que le patient ne commence à sentir et à rapporter une amelioration tangible de son état.

Mais les experiences faites durant l’étude en Californie ne furent faites qu’avec 50mg par injection.

La dose maximum individuelle fut de 200mg et la dose maximun cumulative de2000 mg (2g) en 12 injections.

Cinq patients ne reçurent que deux injections, et cinq patients n’en reçurent qu’une.

Il n’est donc pas surprenant que la recherche californienne de 1953 échoua à produire des preuves tangibles de l’efficacité du Laétrile contre le cancer. [«][«]

Le 6 Avril 1970, la fondation McNaughton envoya une demande à la FDA pour s’engager dans ce qu’on appelle une étude sur un nouveau medicament (NdT: IND en anglais pour ³Investigation on New Drug´« ³Drug´ en anglais ayant essentiellement le sens de medicaments dans un contexte medical.).

La permission fut accordée le 27 Avril, puis selon les mots d’un journaliste: ³

les feux de l’enfer se sont déchaînés´.

La FDA reçut apparemment un coup de téléphone d’un personnage politique influent et irrité qui passa le mot d’ordre suivant: ³Arrêtez les tests´. [«][«]

Clairement, ceci fut fait en réponse à des pressions politiques et une des raisons invoquées pour arrêter les tests fut la suivante: La FDA considérait le Laétrile comme étant toxique et déclara solennellement:

³Bien qu’il soit souvent dit dans l’IND que l’amygdaline (NdT: L’autre nom du Laétrile, connu aussi sous le nom de vitamine B17) n’est pas toxique, les données pour démontrer ce manque de toxicité sont absente

«Il est considéré comme dangereux de fonder la dose de départ d’une étude chronique (plus de six semaines) sur l’humain sur une seule étude faite sur des souris.
Il est aussi dangereux de commencer des études sur l’humain alors que la nature de la toxicité n’a pas été élucidée sur des espèces animales plus grosses.´

Ceci est une declaration simplement incroyable.

D’abord, comme nous allons le montrer dans un chapitre ultérieur, la non-toxicité de la substance amygdaline (Laétrile) est un fait connu, complètement accepté et non-controversé depuis plus de cent ans.

Deuxièmement, les cas cliniques documentés comme partie de la demande d’IND constituaient des preuves supplementaires de la non-toxicité et de la sûreté du Laétrile.

Troisièmement, la question même de la toxicité est totalement absurde dans la mesure où TOUS les medicaments approuvés par la FDA et utilisés pour traiter les cancers sont, eux, des médicaments EXTREMEMENT toxiques. [«][…]

Quoi qu’il en soit, le rapport de Californie de 1953 demeure une des ³autorités´ citées ad nauseam par les ³experts´ en cancérologie, comme fondement de base pour empêcher l’utilisation du Laétrile.

Pourquoi cela se produit-il ? C’est ce que nous allons voir par la suite


Chapitre 2 : Génocide à Manhattan

(si vous voulez continuer la lecture, …

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